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5 mai 2009 2 05 /05 /mai /2009 22:31
Ah, que dire, regardez et interrogez vous.

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5 mai 2009 2 05 /05 /mai /2009 22:00
C'est le moment d'infléchir le rééquilibrage des effectifs pour éviter encore d'autres fermetures de classes dans les années futures.

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4 mai 2009 1 04 /05 /mai /2009 21:56

Que de souvenir..........

François Béranger
(né le 28 août 1937 à Amilly, Loiret, mort le 14 octobre 2003 à Sauve, Gard) était un chanteur libertaire, qui connut une forte notoriété dans les années 1970. Il est mort des suites d'un cancer à son domicile à 66 ans.

François Béranger est rentré à 16 ans aux usines Renault à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), qu'il quitte pour s'engager dans une troupe itinérante, la Roulotte. Après avoir combattu comme appelé pendant la Guerre d'Algérie, il revient brièvement aux usines Renault, puis travaille à l'ORTF avant de se lancer dans la chanson. Il s'est fait connaître au début des années 1970 lors du renouveau de la chanson française, imprégnée de folk, portée par des thèmes contestataires, aux côtés notamment de Dick Annegarn, Catherine Ribeiro, de l'occitan Joan-Pau Verdier.

Des chansons comme L'alternative, Rachel, Participe présent, Tranche de vie l'avaient imposé comme une des voix militantes de cette époque. Il a participé à la musique du film de Gébé et Jacques Doillon, L'An 01.


François Béranger - Une ville

Marie tout court-Thomas Pitiot - Dis moi oui



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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 22:50
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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 21:57

Je me balade pas mal dans la cité, vu le nombre de barrières incroyables installées depuis un an je me suis mis à rigoler en pensant que la ville devait plutôt s’appeler « la cité aux 400 barrières » au lieu de la cité aux 4 mines.

 

Et là ça a fait tilt, «  la cité aux 4 mines », à chaque élection ou discours quelconque hop l’on remet un couplet sur les mineurs et nos mines. Ca ne coûte pas cher et ça brosse l’électeur retraité des mines dans le sens du poil.

 

Mais dans la réalité concrète des choses, que reste-t-il de notre passé minier ????

 

Ben , je dirai grosso modo une stèle au coin d’un parking , une fresque dans un état de décrépitude avancé (pas eu la couche de protection finale à l’époque de sa création, pourquoi ????) et des friches.

 

Dans 20 ans le souvenir de ces mines aura même disparu si cela se trouve !

 

Or , une ville qui oubli son passé perd son âme, déjà qu’Algrange ressemble de plus en plus à une cité dortoir et si en plus elle n’a plus d’histoire….

 

Je propose donc que Culture et Aménagement se lient pour mettre en place quelque chose qui pérennise cette mémoire du passé de la ville .

 

Pourquoi ne pas faire un petit espace vert à la mine d’Angevillers avec des supports informatifs. Ou alors mettre en place au droit des entrées des plaques explicatives de la mine en question.

 

C’est comme la pierre des Croates, elle est recouverte de peinture, le prochain coup elle disparaît sous le  crépi ??? La ville pourrait contacter le proprio pour voir s’il n’est pas possible de la récupérer pour la mettre en sécurité tout en restant bien visible.

 

D’autres propositions sont encore possibles….

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