Algrange Nouveaux arrivants mais plus de partants

Algrange Nouveaux arrivants mais plus de partants.

La majorité Municipale aime bien accueillir les nouveaux habitants, c'est le moment pour leur faire croire au Père Noël...Mais quelques mois après ils connaissent mieux cette majorité et le carrosse c'est transformé en citrouille.

Ce qui fait qu'il y a plus de départ de la ville que d'arrivée aujourd'hui .

Dans la présentation il oubli de dire que c'est le val de Fensch qui va faire ou fera peut être la Crêche, la rénovation de la rue principale, l'aménagement urbain de la ZAC de la Paix etc etc etc

Pour le moment l'on attend toujours l'aménagement du site de la mine de la Paix par la commune. Au dernier CM il a été dit que l'argent serait transféré fin janvier...ou en est on ? Combien d'appart parce que un jour c'est 100, le lendemain 90 puis 110...etc etc

Mais pour le moment la ville perd des habitants, des classes , ses docteurs......mais à un candidat permanent à toutes les élections avec Patrick Peron (Mr 3% pour les intimes)!

Regardez la vidéo mais avec un oeil interrogatif .

Petit ajout : les nouveaux habitants seront ravis de savoir que notre maire se sert de leur présence au socio à ses fins de propagande électoraliste !

Comments

[Urgo]

Bon, tout nouveau, tout beau. Mais c'est à l'usage qu'il faut apprécier la chose. Depuis quelques années déjà, la ville a perdu de sa vitalité et de son dynamisme commercial. Le centre-ville est devenu sinistre, surtout à partir de 19 heures où, il n'y a plus un chat dans la rue. C'est devenu une ville-dortoir, et quand on dort, plus c'est calme et meilleur cela est. Mais pour les distractions, mieux vaut aller voir ailleurs. Et ce n'est pas une manifestation culturelle par ci, par là, qui va enchanter le quotidien de l'algrangeois. Si je veux trouver un peu de dépaysement, je vais à Thionville. Et encore, ce n'est plus la même ambiance, comme il y avait une vingtaine d'années auparavant. La vallée de la Fensch a perdu de son charme d'antan, lorsque la sidérurgie répandait ses fumées et ses odeurs sur des villes prospères et presque heureuses. Quand les bistrots étaient de véritables institutions, lieu de convivialité par excellence, où se forgeait le lien social. De tout cela, il n'existe plus rien.